Un cœur malade et pourtant immense. Un cœur apaisé qui continue d’apaiser ceux et celles qui t’ont connu. A toi ma mère, je ne me lasserai jamais d’écrire mon amour mais j’en mourrai certainement car l’immensité de ton âme dépasse mes capacités physiques. Ton cœur ne cesse de battre dans le monde qui t’a connu. Sur les lèvres des restants ton prénom vibre accompagné d’une invocation. Ton courage et tes phrases qui résumaient l’existence et traçaient des routes pour les humains sont les caractéristiques que tu partageais avec papa. Tu n’es plus là pour entendre ces mots mais ton fils ne peut cesser de te parler. Tu es celle qui m’a porté, et aucune immensité matérielle ne pourrait te rembourser. Ici il n’en est pas question, tu ne l’as jamais demandé avec le bien aimé  vous avez toujours su lire entre les lignes des âmes brisées, et  cicatrisé les plaies du cœur par des simples mots. Les bienfaits de vos actes, de vos paroles et de votre amour ont l’éternité pour point de fuite. Votre fils qui vous aime éternellement sera toujours en admiration en pensant à vous. Cela dépasse les mots.

Abdelhamid NIATI

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